Michelle McAra est une femme qui joue de nombreux rôles. Elle est non seulement cadre supérieure, épouse, mère, fille et sœur, mais aussi chef d’une équipe de développement de partenariats exclusivement masculine.
Michelle a été intriguée lorsqu’elle a appris qu’il était possible pour elle de se joindre à l’équipe de développement des partenariats nouvellement créée de dentalcorp. Elle adore remettre en question le statu quo; il était donc exaltant pour elle de se joindre à une entreprise décidée à bousculer l’état actuel des choses et à repenser les organisations canadiennes de services dentaires. Elle était la seule femme parmi les trois membres de l’équipe de développement de partenariats, et la seule personne à avoir des enfants. Compétitive et motivée, Michelle s’était donné pour mission de conclure une entente avant toute chose, et elle n’a jamais regretté sa décision.
Depuis qu’elle s’est jointe à dentalcorp, il y a plus de cinq ans, elle a vu son rôle évoluer de succès en succès et elle est maintenant à la tête de l’équipe nationale de développement de partenariats. En tant que première vice-présidente, elle dirige la croissance par acquisitions de dentalcorp par le biais d’équipes régionales dont le rôle est de cerner des occasions de partenariat, de comprendre et d’évaluer la dynamique du marché et de tisser des liens avec les intervenants clés. Aujourd’hui, Michelle dirige l’une des équipes les plus actives sur le plan de la croissance par acquisitions dans le secteur de la santé. « Les fusions et les acquisitions constituent généralement un aspect du monde des affaires essentiellement dominé par les hommes, mais cela ne m’a pas intimidée », explique-t-elle. « Conclure des ententes, c’est à la fois un art et une science. Il est facile de laisser l’ego prendre le dessus, mais je mets un point d’honneur à éviter de telles situations en ayant des conversations sur ce qui compte et en écoutant activement afin de cerner les conditions à réunir pour que l’entente soit conclue. »
Elle explique que l’acquisition d’une clinique dentaire nécessite une sensibilité qui permet de s’assurer que le partenaire, les cliniques et la patientèle sont bien pris en charge. « J’adore rencontrer les dentistes, partager l’histoire de dentalcorp et discuter de la création de valeur qu’offre notre organisation », dit-elle. « J’ai la chance de pouvoir représenter une entreprise dont la proposition de valeur trouve un écho auprès de dentistes de divers horizons et les inspire à s’associer à nous. »
Toutefois, Michelle s’est frayé un chemin jusqu’au sommet d’une entreprise dominée par les hommes non sans difficulté. Elle a appris à se faire entendre et à se défendre, sachant qu’elle serait prise en considération pour ce poste qu’elle occupe aujourd’hui si elle continuait à se présenter régulièrement, à travailler dur, à produire des résultats et à prouver sa détermination à faire croître l’entreprise. « Le chemin était parsemé d’obstacles, notamment, le fait d’être une femme, d’être basée à Edmonton et d’avoir l’ambition de diriger une équipe nationale d’acquisitions pour une entreprise basée à Toronto», explique-t-elle. « Plusieurs vice-présidents se sont succédé dans ce service, mais lorsque l’occasion s’est présentée, j’ai demandé le poste. J’avais appris au début de ma carrière à négocier pour obtenir ce que je voulais. »
Au début de sa carrière, elle s’est fait le devoir de traiter les défis comme des occasions et de les aborder avec enthousiasme. Ainsi, face à la pandémie, elle s’est montrée plus humaine au travail, ce qui lui a permis de mieux réussir. « Je pense que la COVID-19 m’a poussée à faire des changements positifs; en effet, je suis devenue plus à l’aise de me présenter au travail en demeurant moi-même », explique-t-elle. « Au bout du compte, nous faisons affaire avec des personnes; nous avons tous une vie, différents aspects avec lesquels il faut jongler et un équilibre à trouver, et il n’y a pas de mal à dire à quelqu’un que je serai heureuse de me rendre disponible après 20 h, lorsque mes enfants seront couchés. »
Michelle est exaltée par l’avenir des dirigeantes, car elle remarque des changements sur le lieu de travail, notamment en ce qui concerne les congés parentaux visant à aider les femmes qui souhaitent retourner au travail et le mouvement visant à augmenter le nombre de femmes dans les postes de haute direction et au sein des conseils d’administration. « La Journée internationale des femmes vise à briser les préjugés et à créer des milieux de travail où tous les genres peuvent s’épanouir », dit-elle. « Je me sens privilégiée d’être une femme qui travaille pour une entreprise canadienne progressiste et de pouvoir montrer à ma fille qu’elle a les mêmes chances que son frère. »
Michelle a été intriguée lorsqu’elle a appris qu’il était possible pour elle de se joindre à l’équipe de développement des partenariats nouvellement créée de dentalcorp. Elle adore remettre en question le statu quo; il était donc exaltant pour elle de se joindre à une entreprise décidée à bousculer l’état actuel des choses et à repenser les organisations canadiennes de services dentaires. Elle était la seule femme parmi les trois membres de l’équipe de développement de partenariats, et la seule personne à avoir des enfants. Compétitive et motivée, Michelle s’était donné pour mission de conclure une entente avant toute chose, et elle n’a jamais regretté sa décision.
Depuis qu’elle s’est jointe à dentalcorp, il y a plus de cinq ans, elle a vu son rôle évoluer de succès en succès et elle est maintenant à la tête de l’équipe nationale de développement de partenariats. En tant que première vice-présidente, elle dirige la croissance par acquisitions de dentalcorp par le biais d’équipes régionales dont le rôle est de cerner des occasions de partenariat, de comprendre et d’évaluer la dynamique du marché et de tisser des liens avec les intervenants clés. Aujourd’hui, Michelle dirige l’une des équipes les plus actives sur le plan de la croissance par acquisitions dans le secteur de la santé. « Les fusions et les acquisitions constituent généralement un aspect du monde des affaires essentiellement dominé par les hommes, mais cela ne m’a pas intimidée », explique-t-elle. « Conclure des ententes, c’est à la fois un art et une science. Il est facile de laisser l’ego prendre le dessus, mais je mets un point d’honneur à éviter de telles situations en ayant des conversations sur ce qui compte et en écoutant activement afin de cerner les conditions à réunir pour que l’entente soit conclue. »
Elle explique que l’acquisition d’une clinique dentaire nécessite une sensibilité qui permet de s’assurer que le partenaire, les cliniques et la patientèle sont bien pris en charge. « J’adore rencontrer les dentistes, partager l’histoire de dentalcorp et discuter de la création de valeur qu’offre notre organisation », dit-elle. « J’ai la chance de pouvoir représenter une entreprise dont la proposition de valeur trouve un écho auprès de dentistes de divers horizons et les inspire à s’associer à nous. »
Toutefois, Michelle s’est frayé un chemin jusqu’au sommet d’une entreprise dominée par les hommes non sans difficulté. Elle a appris à se faire entendre et à se défendre, sachant qu’elle serait prise en considération pour ce poste qu’elle occupe aujourd’hui si elle continuait à se présenter régulièrement, à travailler dur, à produire des résultats et à prouver sa détermination à faire croître l’entreprise. « Le chemin était parsemé d’obstacles, notamment, le fait d’être une femme, d’être basée à Edmonton et d’avoir l’ambition de diriger une équipe nationale d’acquisitions pour une entreprise basée à Toronto», explique-t-elle. « Plusieurs vice-présidents se sont succédé dans ce service, mais lorsque l’occasion s’est présentée, j’ai demandé le poste. J’avais appris au début de ma carrière à négocier pour obtenir ce que je voulais. »
Au début de sa carrière, elle s’est fait le devoir de traiter les défis comme des occasions et de les aborder avec enthousiasme. Ainsi, face à la pandémie, elle s’est montrée plus humaine au travail, ce qui lui a permis de mieux réussir. « Je pense que la COVID-19 m’a poussée à faire des changements positifs; en effet, je suis devenue plus à l’aise de me présenter au travail en demeurant moi-même », explique-t-elle. « Au bout du compte, nous faisons affaire avec des personnes; nous avons tous une vie, différents aspects avec lesquels il faut jongler et un équilibre à trouver, et il n’y a pas de mal à dire à quelqu’un que je serai heureuse de me rendre disponible après 20 h, lorsque mes enfants seront couchés. »
Michelle est exaltée par l’avenir des dirigeantes, car elle remarque des changements sur le lieu de travail, notamment en ce qui concerne les congés parentaux visant à aider les femmes qui souhaitent retourner au travail et le mouvement visant à augmenter le nombre de femmes dans les postes de haute direction et au sein des conseils d’administration. « La Journée internationale des femmes vise à briser les préjugés et à créer des milieux de travail où tous les genres peuvent s’épanouir », dit-elle. « Je me sens privilégiée d’être une femme qui travaille pour une entreprise canadienne progressiste et de pouvoir montrer à ma fille qu’elle a les mêmes chances que son frère. »
Le conseil que Michelle prodigue à la prochaine génération de chefs d’entreprise est que le désaccord est un élément favorable à la croissance. Entourez-vous de personnes qui pensent différemment, qui ont des expériences variées et qui vous mettent au défi.